Randonnée de Pradines-Flaynac
Randonnée de Pradines-Flaynac 06-03-2025
Nous étions 28 Montapattes à Pradines, place de la Prade pour marcher sur un circuit de 10 km autour de Pradines.
Après la traversée du village, nous voilà longeant le Lot, rivière tranquille aux rives aménagées par les pêcheurs occasionnels. Le doux parfum des violettes blanches et mauves titille nos narines. Le soleil et le vent d’autan viennent à bout de nos polaires. C’est dans cette ambiance printanière que nous progressons toujours en bord de rivière et le long des vignes jusqu’à l’ascension de la première côte qui nous mène sur les hauteurs de Flaynac.
les touches blanches des arbres deci delà attisent notre curiosité, ce sont des prunelliers ou des cerisiers acides dont la ressemblance de loin est trompeuse. Nous progressons dans un sous bois où la végétation luxuriante profite des abords de la rivière. Chacune et chacun y va de son avis pour l’identification des plantes que nous rencontrons, nous reconnaissons la chélidoine, la ficaire, la famille des fougères, scolopendre et caduque, les renoncules etc. La lathrée clandestine, ne passe pourtant pas incognito, parasite aux fleurs mauves magnifiques.
Ces moments de partage sont enrichissants et bien appréciés. Une autre montée un peu plus abrupte nous hisse jusqu’à l’antenne qui inonde Pradines et les environs. Nous amorçons ensuite la descente avec le château de Mercues en ligne de mire. Nous retrouvons les voitures et remercions Bernard et Viviane pour cette belle randonnée.
Ici le diaporama du jour et le lien pour les photos de Didier Cabrignac
Et la vue interactive (cliquer sur les icones de chaque côté de la carte) de la trace GPX de Pradines par Flaynac













Il y a beaucoup de place de parking au lac de Marcenac heureusement… nous étions 59 membres des deux sections du club des Montapattes au rendez-vous de cette randonnée. Ces retrouvailles étaient importantes après le double choc des décès récents de Michèle et de Cécile, un moment pour en parler, se recueillir quelques instants, se rappeler que nos marches sont aussi des instants de vie, de rencontre, de partage, de convivialité. 
A Albas nous étions 28 marcheurs des Montapattes prêts à suivre le circuit de Françoise, une rando souvent avec une surprise car sans carte …et tout dans la tête. Nous avons, de ce fait, découvert une petite plage sous le barrage électrique avec non pas du sable, ni des cailloux sous les pieds mais un tapis de petits coquillages. Nous avons emprunté l’ancienne voie ferrée avant d’attaquer la colline par un chemin en sous-bois, on pouvait y remarquer une canalisation de l’eau bâtie en pierres par nos aïeux et son petit pont. La pierre est partout, elle nous trace le chemin par ces longs murs régulièrement recouverts de mousse. Une fois le plateau atteint nous voilà devant la falaise avec son panorama sur la vallée du Lot : vignes, villages, clochers et hameaux s’y mélangent en un spectacle organisé. Nous redescendons vers le village le long de cette falaise en gardant ce paysage. Le soleil se couche presque, il nous offre quelques photos en contre-jour du village et de son reflet dans la rivière.
Les deux groupes de marche : les Blaireaux et rando douce, s’étaient donnés rendez-vous au Montat au lieu-dit Le Lard. Le départ est donné avec 47 participants (pas toujours en file indienne) sur un large chemin de forêt, une gariotte écroulée et une fontaine saluent notre passage. Une boucle nous a permis d’apprécier le ruisseau « le Tréboulou » que nous avons suivi un petit moment et deux fois la même côte bien pentue mais pas difficile. Un petit passage le long de l’autoroute avant d’arriver vers le hameau de Cayran et nous voilà sur le chemin du retour toujours sur de larges chemins avec de temps en temps en toile de fond le Château de Hauteserre.
Rendez vous au terrain de tennis de St Michel de Cours.. mais pas besoin de raquettes… plutôt bâtons et bonnes chaussures, ce message a bien été entendu : résultat 34 Montapattes se tenaient prêts pour cette randonnée au cœur de notre Quercy. Une longue descente nous entraîne vers le ruisseau de la Rauze, nous le suivront un moment accompagné par le bruit des nombreuses petites cascades, l’eau ne manque pas, elle coule de partout, formant par endroit de petits marécages, l’eau y est translucide, les écrevisses blanches (espèce protégée) se cachent, nous n’en verrons pas. Après avoir contempler de loin le château de Gironde et l’ancien moulin de Maquefave, le chemin du retour traverse une foret d’arbres enchevêtrés et moussus, un décor fantasmagorique où il manquait juste un peu de brume et la nuit tombante pour y rencontrer un zombie.
La cazelle de Nouel, toujours aussi « pimpante » a été le départ d’une rando douce de 9,5 km avec environ 100 m de dénivelé et suivie par 19 participants.
Nous étions 24 sous la houlette de Claude à Tréspoux.
Le lundi 03 février, à la salle Roger Peyralade du Montat, s’est tenue l’assemblée générale de notre club de randonnée des Montapattes. Plus de 60 adhérents sur les 80 membres du Club étaient présents, montrant ainsi la bonne santé de notre association. Après avoir remercié les participants, le Président a présenté les différents rapports : moral, financier, licences, activité des groupes et bien sûr évoqué une nouvelle fois les éternelles et importantes recommandations de sécurité. Tout cela a été discuté et validé à l’unanimité par l’assemblée. Monsieur le Maire a alors pris la parole pour nous féliciter, mettant en avant la vitalité de notre club, sa convivialité et notre présence régulière sur la commune. Un conseil d’administration reconduit, mais après 10 ans de bons et loyaux services, Paul Deltour a cédé la Présidence, Marie Jo Mabire a repris le flambeau et a été élue Présidente. Nous lui souhaitons bonne route ou plutôt bon chemin.
La température est à peine positive mais 33 Montapattes se sont quand même déplacés sur la butte des Durants au-dessus de Cahors. Un peu plus de 9km attendent les marcheurs, le circuit démarre par le plateau qui nous offre quelques belles vues sur Cahors avant la longue descente vers la combe de Pradines. Le givre aidant, celle-ci s’avère un peu glissante, on se méfie, on s’agrippe, on regarde où poser les pieds. La première montée se fait par un sentier serpentant entre les arbres, par endroits, bien abritées, les milliers de petites étoiles posées sur les herbes et mousses résistent aux encore timides rayons de notre roi soleil et nous offrent un beau spectacle. Arrivés sur le plateau, pour ceux qui croyaient finir la randonnée tranquille, surprise…. Nous voilà reparti vers le fond d’une combe où le froid de cette fin d’après-midi nous attendait, même les derniers se pressent, il faut dire qu’une autre surprise récompensera de ce dernier effort : un morceau de galette et son petit verre de cidre.