Randonnée de Montcabrier circuit des gariottes
Randonnée de Montcabrier Circuit des Gariottes 10/04/2025
Nous avons pu découvrir une nouvelle randonnée sur Montcabrier. Ce Circuit a été ouvert et balisé par un groupe de bénévoles « les copains et copines des bois », ils ont tracé, ouvert et balisé par leur propre moyen une trentaine de km de chemin autour de Montcabrier. Un grand merci à eux pour ce bel exemple d’abnégation et d’amour de la randonnée. Sur cette trace appelé « circuit des gariottes » nous y avons trouvé…. des gariottes et encore des gariottes, mais pas que ; des fontaines, des petits bouts de falaise, des lavoirs, des petits ponts de pierre en voute sans oublier un Didier toujours aussi fantasque et le village aux maisons de pierre calcaire bien restaurées avec quelques particularités comme les tours d’angle ou les petits clochetons. Les sentiers, parcourus avaient aussi leurs particularités, bordés de hauts talus ou de murs de pierre moussue où avaient été déposés par endroit des cairns sous forme de sculptures amusantes. En fin de parcours nous nous sommes retrouvés dans un sentier très étroit, surement un ancien lit de torrent, il ressemblait à une tranchée profonde où nos têtes dépassaient à peine du sol. Sur ce petit bout de chemin incroyablement ravissant, nous avons dû nous adapter aux blocs rocheux sous nos pieds et aux grands chênes qui ont vainement essayé de barrer notre avancée.
Ici le diaporama du jour et le lien pour les photos de Norbert Varlan
Le diaporama de Mario Czebotar et le lien pour ses photos
Et la vue interactive (cliquer sur les icones de chaque côté de la carte) de la trace GPX de Montcabrier













Nous étions 28 Montapattes sur la place de Lentillac du Causse… plus un : le soleil avait décidé de nous accompagner pour cette randonnée sur le chemin du Dolmen. Principalement sur de larges chemins et en sous-bois nous avons pu profiter, grâce aux variations de terrain, des paysages bucoliques et de la beauté de la campagne. Rencontre avec un ancien lavoir qui mériterait bien d’être un peu mieux entretenu, rencontre avec deux bergères sortant de leur gariotte, rencontre avec une ancienne gendarmerie napoléonienne au milieu des bois, rencontre avec le fameux dolmen, ont animé notre parcours. Sans oublier la cueillette de fleurs de pissenlits qui a été le fils rouge du parcours, peut être goûterons nous la confiture ou la liqueur de cette fleur sur une prochaine randonnée. Une dernière côte bien pentue juste avant l’arrivée et la traversée du charmant village nous a rappelé que nous avions des mollets.
Quissac est une jolie petite bourgade du causse de Gramat. Le vent était un peu fort et un peu froid, nous n’étions que 14 marcheurs pour cette randonnée de 10 km. Nous avons commencé notre circuit par la traversée de ce petit bourg, bien vite passée cette traversée, mais de très belles maisons à voir et de petites trouvailles amusantes. La caractéristique de la région est encore une fois : la pierre. Elle est partout, matériau principal de construction des habitations, énormes blocs pour marquer l’entrée des parcelles, pierres encore pour les murs de clôture, pierre creuse pour mare et abreuvoir, sans compter toutes celles qui restent dans les prés. Le causse de Gramat est parsemé de larges chemins entre les cultures mais aussi traversant les sous-bois transformés en un immense terrain de nourriture pour les ovins. A part quelques petits bouts de route, nous avons cheminé sur ceux-ci, ouvrant et fermant les barrières qui barraient notre avancée. Pas beaucoup de paysage dans ce plat pays du Causse, mais une parfaite communion avec la nature.
Nous étions 34 marcheurs sur la place du village de Belfort du Quercy. La randonnée de 10 km débute par un peu de route, puis nous traversons un vieux et tout petit cimetière, presque à l’abandon, le sentier emprunté le séparant en deux. Les stèles aux ornements finement sculptés affichent des dates du début du siècle dernier et même avant. Un peu plus loin nous sommes forcés de revenir sur nos pas car le sentier prévu n’était pas entretenu, et nous voilà de nouveau sur le bitume. Le début du circuit nous taquinera un peu avec quelques obstacles : barbelés, sentier fermé, demi-tour intempestif, nous avons souvent cherché notre chemin. Nous en avons profité pour regarder les beaux paysages en traversant les vergers en fleurs, les belles maisons de pierres blanches et leur pigeonnier, les lacs et le champs maculés de petites tâches blanches : les marguerites
Oui Docteur, nous étions 33 participants à la randonnée de 10 km autour de St Cernin. Nous avons débuté celle-ci par un agréable sentier entre pré et bois où le jaune des pissenlits et des coucous flirtait avec le bleu des violettes, des myosotis et le vert des prairies. Le Printemps est là. Au programme il y avait bien sur quelques « côtes bien saignantes » pour certains, « à point » pour les autres, moi j’étais « cuit » en arrivant. En atteignant le point culminant de ce circuit nous avons été gratifiés de superbes vues sur l’horizon, dommage trop de brume, les sommets du cantal nous sont restés cachés, les Pyrénées et les Alpes aussi. Souvent sur des chemins bien ombragés, en regardant les majestueux troncs d’arbres et leur imposante ramure, on se demande où ils trouvent leur pitance dans ce sol calcaire. De belles maisons et grands domaines ont agrémenté le reste de notre périple, nous offrant ici une tour pigeonnier et là une source aménagée en havre de repos où les poissons rouges nagent entre les roseaux.
Face à l’église de Saint Pierre de Luzech, nous étions nombreux ce lundi 24 mars. Juste le temps de se dire bonjour et un « abat d’eau » dissuade plusieurs Montapattes.
32 Blaireaux en ce 1er jour du printemps sont au rendez-vous de la randonnée de Bovila.
Ce lundi 43 marcheurs des Montapattes ont profité des beaux paysages, sous le soleil, autour de Flaugnac.
Terry est un charmant, mais, petit bourg, pas beaucoup de place pour accueillir les voitures de nos 38 marcheurs, les abords de l’église ont été envahis. Une traversée du petit bourg et tout de suite une première montée sans véritable problème, et heureusement la pluie s’étant montrée avare ces derniers jours, nous n’avons ramassé que 500 grammes de terre blanche sous les chaussures. Entre « chemin blanc et collant » , église blanche et maisons de pierres blanches, le Quercy Blanc porte bien son nom. Il ne laisse pas non plus grand place à la culture ; bois de chênes du causse, pâturage où se mêlent les herbes sèches et les petits taillis, le paysage ressemble par endroit à la steppe si ce n’est de se heurter à une colline de craie blanche.
Sur le parking de la piscine de Lalbenque, il y avait 47 Montapattes, mais ils n’étaient pas encore prêts pour la trempette, donc nous avons opté pour une belle randonnée par les bois de Cournesse. Nous sommes partis sur de larges chemins aux travers des bois, le circuit, où s’alternent chênes, lande sèche et champs cultivés, nous offrait une grande variété de couleurs. Le ciel aussi était de la partie, bleu intense par ici, tapisserie de cumulus de différentes formes par là, le soleil jouait à cache-cache avec la fourrure de ces petits moutons blancs, animant ainsi un beau spectacle de formes et de lumière.