Randonnée d’Espère
Randonnée d’Espère 02/03/2024
Nous étions une quarantaine de Montapattes Lundi à partir d’Espère sous un ciel dégagé pour rejoindre la voix romaine, admirant au passage de belles bâtisses de pierre, découvrant le puits hexagonal du Pouzard.
Par cette même voie, nous grimpons vers Crayssac laissant Espère dans la vallée. Arrivés sur le plateau, nous continuons vers le Causse de Nuzejouls où nous nous pausons quelques instants pour le goûter traditionnel de 16h. Là nous pouvons de nouveau admirer de belles bâtisses de pierre.
Nous redescendons sur Calamane pour rejoindre Espère par le chemin des sources qui porte bien son nom en ce moment. Malgré le nombre, le groupe est resté bien soudé, la randonnée n’étant pas très difficile.
Ici le diaporama du jour et le lien pour les photos de Norbert Varlan
Et la vue interactive (cliquer sur les icones de chaque côté de la carte) de la trace GPX de Espere













Au départ de Gigouzac, 37 Montapattes ont répondu présent à la rando menée par Robert. Une longue montée en pente douce, sur une petite route goudronnée, nous a mené au Mas de Barrade. Nous avons emprunté ensuite le joli « chemin des combettes » puis une nouvelle « grimpette » jusqu’au Mas de Guitou. Tout le groupe a apprécié le descente vers la D13 et le passage du petit pont enjambant le « Ruisseau du Vert » bien rempli !
Départ matinal pour cette journée randonnée à St Matré, le matin nous avons effectué un circuit de 12 km sans grande difficulté, une seule côte au programme. Nous étions 15 Montapattes au départ, au milieu des champs ou en sous bois, ce parcours était bien agréable malgré le temps incertain annoncé.
Un réveil matinal pour cette randonnée à la journée sur le causse de Caniac. Nous étions 12 au départ de ce circuit, après un passage par le village sur des ruelles pavées au milieu des maisons restaurées ou en phase de l’être, nous en avons pris le chemin…. du Causse. Une longue mais tranquille côte nous amène sur les hautes altitudes du coin (480m quand même … 380m au départ), mais aussi surprenant que cela paraisse, Monsieur Sabrazac, Maire et guide du jour, nous a montrés les paysages que ces hauteurs nous permettent d’atteindre, jusqu’aux confins du Cantal et même quelques sommets pyrénéens.
A cause du forfait pour blessure de Bernard, la randonnée « Blaireaux » de Lundi, prévue sur Crayssac, a été annulée et rattachée sur celle de la « rando douce » sur Cahors. 36 Marcheurs avaient donc répondu favorablement à ce changement de programme. Un parcours facile pour l’occasion, sans difficulté ni dénivelé, si ce n’est quelques passages en bordure du lot, rendus plutôt glissants en raison des récentes pluies.
Près de la Halle de Trèspoux, les boulistes lançaient le cochonnet tandis que le parking se remplissait petit à petit. Finalement nous avons pris le départ de la randonnée à 14 h avec 28 Montapattes en file indienne dans un premier sentier.
Nous nous sommes retrouvés à 16, blaireaux et rando douce réunis, pour parcourir les chemins blancs de Pern sous une petite bruine persistante.
Le départ est fixé devant l’église où 44 randonneurs s’apprêtent à parcourir les 10 kms 500 du circuit intitulé « sur les chemins de Bagat en Quercy « .
Le départ de la randonnée de Douelle avait pour cadre la base nautique d’Antinea, dominé par le magnifique château de Laroque. 48 marcheurs étaient au rendez-vous : les deux groupes : « Blaireaux » et « Rando douce » étant réunis. Sur ce parcours, aucune difficulté, la voie verte, que nous avons largement suivi, nous accueille avec son large ruban cimenté : pas de flaque à déplorer, ni de boue, même pas une grande montée…. calme plat au désespoir de certain. On notera juste une petite vaguelette de terrain en traversant le village de Parnac.
Le soleil faisait pourtant de gros efforts pour traverser l’épais tapis de nuages, les 30 marcheurs réunis à Cournou en étaient témoins, nous avons malheureusement gardé ce temps maussade tout au long de notre randonnée. Le circuit était prévu presque entièrement sur le plateau, sur un terrain pratiquement plat et sur de larges chemins, bordés par les chênes. Nous avons risqué une escapade hors sentier vers un dolmen que nous avons eu bien du mal à trouver et à reconnaitre. Nous avons fait d’autres trouvailles : des gariottes et surtout un ancien lavoir perdu au milieu de nulle part et surement juste utilisé par quelques animaux sauvages comme abreuvoir. Finalement les petites difficultés de ce parcours ont été : la descente vers Cels, sur un chemin caillouteux en forte inclinaison et, après avoir traversé le village, la remontée sur le plateau sur le même type de terrain mais avec la langue tirée. Pour finir le parcours, un léger crachin nous a accompagné jusqu’au refuge de nos voitures.