Randonnée de Cieurac-Pauliac
Randonnée de Cieurac-Pauliac 02/06/2025
De rando prévue à Limogne nous nous retrouvons à Cieurac… pluie annoncée oblige. Tant qu’à se faire arroser, autant le faire proche de la maison. Paul mène la troupe, les Montapattes, au nombre de 26, suivent le mouvement, par ici ou par là.. demi-tour, non c’est bon. Les débuts sont hésitants, mais nous voilà sur le bon circuit, un sentier en pente nous dirige vers un premier lavoir, un peu plus loin le deuxième, construit à même la roche est plutôt à sec malgré les pluies du printemps, seule une salamandre monte la garde. Nous prenons ensuite la direction du hameau de Pauliac, nous faisons un rapide petit tour à humer quelques roses et admirer quelques maisons quercynoises et nous voilà au pied du château. Ce massif bâtiment rectangulaire et sa tour carrée en façade nous impose sa puissance. Nous retrouvons les bois par de larges chemins bordés de murs de pierre encadrant les chênes séculaires aux larges ramures. Les champs de truffiers, les gariottes bien préservées pour certaines, les odeurs de genets, de roses et autres fleurs nous accompagnent sur ce parcours. Quelques cerises cueillies au passage (c’est pas bien !!), des chemins fermés nous obligent à un détour et nous voilà revenus au village. Un peu plus de 8,5 km et tout le monde est ravi…. Il n’a pas plu une goutte.
Ici le diaporama du jour et le lien pour les photos de Mario Czebotar
Et la vue interactive (cliquer sur les icones de chaque côté de la carte) de la trace GPX de Cieurac-Pauliac













De bon matin nous étions 26 Montapattes réunis sur le parking de la mairie de Puyjourdes. Petit café et madeleines nous font patienter pendant que les repas rejoignent notre point de rendez-vous de midi. Départ est donné, nous profitons de la traversée du village pour admirer le patrimoine : four à pain, grange-pigeonnier en forme de tour, le mur clocher, les murs de pierre et leurs portes ornées de chapiteaux et les superbes maisons quercynoises. Nous continuons sur de beaux chemins et sentiers, les hautes herbes nous caressent les mollets, plusieurs gariottes croisent notre avancée. Une longue descente dans les bois nous amène vers le premier gouffre de l’Oule, impressionnante cavité profonde et sa vallée sèche que nous longerons un long moment. Les vasques d’eau au milieu d’un lit de rivière à sec, les strates de calcaire déchirées montrent le travail de l’eau quand elle est en colère. Ce paysage particulier nous amène petit à petit vers le deuxième gouffre de Lantouy où nous prendrons notre repas en profitant de ce petit lac aux eaux vertes et reflets bleus.
Jeudi 22 mai 2025, nous étions 23 au départ de la rando, des nuages mais pas de menace de pluie.
« Il ne faut pas être superstitieux ça porte malheur », nous étions 13 Montapattes au départ de Brengues. Accueillis par un bon café et un morceau de coque offert par Guy, notre guide du jour, l’ambiance matinale était au beau fixe. Deux autres surprises ont amusé notre petit groupe : d’abord nous avons admiré les pieds d’Yvonne garnis de nouveaux pneus (garantis pour quelques randonnées) et enfin Michel dont les mollets attrayants étaient cachés non pas sous des bas résilles mais une belle paire de guêtres noirs du plus bel effet avec son short court.
Nous sommes 38 montapattes à nous retrouver sur la place de Cambayrac pour une randonnée de 6, 5 kms qui réunit le groupe Blaireaux et la randonnée douce. L’on ne peut pas venir à Cambayrac et ne pas remarquer l’église et son clocher-mur ainsi qu’à l’intérieur l’imposante chaire classée aux monuments historiques.
Nous sommes 19 randonneurs du groupe dit » les Blaireaux » à nous retrouver autour du lac de Grèzes pour une randonnée de 10 kms.
A Goujounac, nous étions 24 MONTAPATTES sur un magnifique circuit ensoleillé de 10 km. Au départ nous avons eu droit à une belle montée, sur le chemin nous avons trouvé l’ancien lavoir à sec, nous avons traversé une très agréable forêt ombragée où nous n’avons pas souffert de la chaleur ! Le circuit était bien vallonné mais sans grande difficulté à la portée de tout le monde présent. Sur le parcours nous avons pu apprécié les nombreuses gariottes, certaines bien envahies par la végétation et d’autres servant de refuge pour les puits et fontaines. Nous n’y avons pas aperçu notre compagnon emblème : « le blaireau » , bien qu’il soit l’hôte de ces bois.
C’est sous une température un peu fraiche et un ciel incertain que 11 Montapattes se sont retrouvés sur la place de Marcilhac sur Célé au milieu d’un groupe de pèlerins de Compostelle faisant leur ravitaillement dans une boutique au nom amusant de « Epices et tout ». Nous nous préparions aussi à une bonne journée de marche sur une boucle de 20 km, en regardant autour de nous on ne voyait que des collines, facile de deviner que nous allions les gravir. Deux côtes prévues, une le matin, l’autre l’après-midi, et bien que le dénivelé semblait important, en réalité les pentes étaient régulières sur plusieurs km, donc faciles en plus nous étions gâtés par les paysages. Sur la première montée nous avons eu la surprise de trouver d’abord une Slackline (ruban entre deux collines) avant d’atteindre sur le plateau une série de très belles gariottes réunies comme un petit hameau. Les sentiers étaient bordés de murs de pierre (il faut dire que la pierre est partout) et nous ont amené vers l’igue du facteur où nous avons discuté un moment avec des spéléologues. Des sentiers étroits, de nombreux pèlerins en face, encore des cailloux sous les pieds, un dolmen, nous avons fini notre équipée matinale par la traversée de St Sulpice, village à flanc de falaise et même encastré dans celle-ci. 3 murs et un demi toit pour les maisons, four à pain, fontaine sortie de la roche, le spectacle était au rendez-vous. Petit repas au bord du Célé et nous voilà repartis, la falaise se dresse devant nous, là-haut le relai nous nargue, par des chemins détournés et un nouveau dolmen en prime, nous y parvenons pour y admirer une dernière fois le village en contrebas. Seul petit problème à déplorer : Yvonne avait oublié de changer ses pneus (chaussures) au départ de la rando, elle a fini sur la corde pour ne pas dire sur les chaussettes, nous avons appelé le dépanneur (Bernard) pour une réparation de fortune grâce au chatterton. L’abbaye nous ouvre ses portes pour une visite impromptue, les hauts murs en ruine impressionnent, le village étale son charme entre ruelle, rivière et falaises.
Nous étions 23 Blaireaux à St Matré ce jeudi 17 avril. Un petit vent froid accompagne ce début de randonnée. Nous empruntons un bout de route pour sortir du village et nous voilà sur une sente. Une oliveraie vient nous rappeler la tendance aux nouvelles cultures en vogue. Le soleil capricieux se joue de nous et la température ambiante fait le yoyo. Le coucou chante, les ruisseaux glougloutent et nous caquetons .
Nous étions 23 et avons eu beaucoup de chance, l’orage prévu vers 17 heures nous a laissé finir la rando sans une goutte d’eau.