Randonnée de Lalbenque-Pélissié
Randonnée de Lalbenque-Pélissié 23/11/2023
33.. Docteur ! Nous étions 33 « Blaireaux » sur le parking de la médiathèque de Lalbenque, prêts pour cette randonnée d’un peu plus de 10 km sans difficulté. Après un départ en file indienne le long de la route, nous empruntons de large chemin tracé au travers de la campagne entre champs et pâturages. En traversant le hameau de Pechpeyroux, on ne peut pas manquer la magnifique tour pigeonnier carré et ses belles maisons en pierre.
Retour à la campagne, jusqu’au hameau de Pélissié où se cache derrière quelques arbres un dolmen dont les supports latéraux effrités, auraient bien besoin d’être consolidés. Le retour vers le village s’est effectué sur un large chemin castiné, qui plus est : au soleil .
Ici le diaporama du jour et le lien pour les photos de M Czebotar
Et la vue interactive (cliquer sur les icones de chaque côté de la carte) de la trace GPX de Lalbenque-Pélissié













32 Montapattes étaient réunis devant l’école primaire de Calamane, pourtant Paul ne nous avait pas donné de leçons à apprendre, juste invité à le suivre pour une randonnée. Départ donné, nous attaquons, au pied du
Malgré un temps incertain, 29 « Blaireaux » étaient présents lors de cette balade menée par Robert, notre guide du jour sur la commune de St Daunés. Ce fut un parcours très agréable sur
On nous avait vanté un circuit facile et sans dénivelé de 11 km sur la commune de Villeseque. 46 Montapattes s’étaient déplacés pour vérifier la chose. Nous avons bien constaté quelques gentilles bosses, elles furent avalées avant même de dire quoi que ce soit. Villeseque est connu pour ses chemins blancs et collants, par bonheur nous avons surtout emprunté des chemins castinés, résultat : les chaussures étaient presque propres à notre retour. Sur notre parcours, des arbres se sont coordonnés pour nous faire, non pas une haie d’honneur, mais plutôt un porche d’honneur sous lequel nous sommes passés en grand désordre.
14 Montapattes ont bravé le mauvais temps annoncé. Après un tour de village, nous avons suivi le cours de la Sagne et ses nombreux méandres jusqu’au moulin de Font Faurés et le magnifique lavoir, quelques jolies statues venant agrémenter le site.
Enfin une accalmie, pas de pluie, pas de vent, au hameau du Causse de Nuzejouls, il n’y a pas de parking, les voitures se garent où elles peuvent le long de la route.. mais en sécurité.
7 courageux Montapattes sont partis heureux de Douelle sous quelques timides rayons de soleil, mais arrivés à Mercuès, un déluge d’eau nous a freiné dans notre élan.
Il pleut en partant de la maison, il pleut sur le parking de covoiturage, il ne pleut plus quand nous arrivons à St Germain de Bel air et il ne pleuvra plus de la journée. Nous étions deux : Jean et moi-même au départ de Cahors et nous avons retrouvé Yvonne à St Germain en compagnie de deux amis belges qui nous ont suivis sur ce circuit de 10 km sans difficulté. Un parcours souvent en sous-bois, sur de beaux sentiers, nous y découvrons des puits et des gariottes, traversons quelques hameaux. Une des habitations aurait pu être la villa de Campagne de Napoléon 1er au vue du portail orné de deux grands aigles. La rando presque finie, nous avons décidé de rallonger le parcours pour visiter le four à pain communal, son ancien lavoir et passer au centre du village. Arrivée à nos voitures un timide coucher de soleil nous a fait un clin d’œil. Note est prise qu’une aire de pique-nique existe avec barbecue à disposition au bord de l’eau ; une Randonnée à la journée s’impose.
Sur la base nautique de Caïx, 24 Montapattes se préparaient pour la randonnée prévue par Françoise, pas de GPS, pas de trace : tout dans la tête. Ce sera surprise ! par où va-t-elle nous emmener ?.
La brume se lève, le soleil se lève, les Montapattes aussi, 23 marcheurs étaient au rendez-vous matinal de cette randonnée à la journée autour de Trespoux. Avant la marche.. un petit café s’impose, Thérèse et Claude l’ont prévu, de plus il n’y a pas trop de dénivelé, juste 260 m pour 11km pour le circuit du matin. Après avoir quitté les vignes rougeoyantes, nous empruntons de nouveaux sentiers bucoliques où la file indienne s’impose, elles nous emmènent en serpentant vers le fond de la combe. Le retour vers la halle de Trespoux se fait par un chemin montant en pente douce. Juste le temps d’installer la table du repas, la pluie se met à pianoter à grosses gouttes sur le toit de notre abri. Encore quelques gouttes après le repas, nous organisons donc une chenille autour de la salle pour nous chauffer les muscles. L’après -midi fut tranquille 5 petits km et nous voilà de retour au voiture